« La terreur totale. Tout le monde courait partout. La terre tremblait, les ustensiles de cuisine bougeaient. Le courant s’est coupé. Le chaos ». Dounia, 24 ans, fines sandales aux pieds, robe bleu roi et foulard blanc sur la tête, est encore sous le choc de la puissante secousse, qui donne cette effrayante sensation de marcher sur un château gonflable. Elle n’ose plus rentrer chez elle depuis que le séisme de magnitude de 7 sur l’échelle de Richter a frappé le Maroc dans la nuit de vendredi à samedi faisant plus de 2 000 morts selon un bilan encore provisoire.
Comme la plupart de ses voisins du quartier de Dar Tounsi à Marrakech, à quelques six kilomètres du centre historique de Marrakech, elle s’est installée au bord de la route, loin des immeubles. D’autres ont trouvé refuge sous une langue d’ombre offerte par un palmier surgissant de la terre ocre et poussiéreuse de la Palmeraie. Same
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