« Je ne peux pas rien vous dire. Seul le directeur de l’usine peut répondre aux questions concernant les jardins. » Au bout du fil, au comité d’entreprise d’Arkéma, la personne est tendue quand on l’interroge sur des analyses effectuées sur le potager partagé.
Pourtant, nous sommes bien chez l’Association gestionnaire de ce potager à deux pas de la plateforme industrielle de Pierre-Bénite. Ici, rue du Brotillon, 60 locataires, pour l’essentiel des retraités d’Arkema, ainsi que des salariés et des personnes extérieures, cultivent leurs lopins.
« On est là depuis cinquante ans, nos parents aussi,…